Publicité Santé physique. Selon la science, cuisiner est bon pour la santé et pour le moral ! 24 mars 2022 à 15:00 • 1 min. Par RTBFLes militants d'Extinction Rebellion, à Londres, lundi 23 août 2021. © HENRY NICHOLLS / REUTERS 13/07/2022 à 0720, Mis à jour le 12/07/2022 à 2018 La jeune génération accable de reproches les boomers, fêtards et irresponsables. Au lieu de maugréer, elle devrait les remercier. Ces dernières années, la langue française a acquis des pudeurs. On ne vous licencie plus, on vous laisse partir. Au lieu de ses employés, on parle de ses collaborateurs. Et on est connu des services de police plutôt que délinquant. Les provinces, Dieu sait pourquoi, sont devenues les territoires et les banlieues, des quartiers. Quant aux gens âgés, ce ne sont plus des vieillards mais des seniors. À défaut de soulager l’arthrose, c’est bon pour le moral. Cela dit, la même langue a aussi ses ridicules. Et ses formules à la mode on est dans le dur, c’est dans ton ADN, changer de logiciel, sortir de sa zone de confort… Rien de grave. Elles disparaîtront. Et elles ne blessent personne. Sauf une qui m’exaspère OK boomer. En français La ferme, fossile. »Lire aussi Quand Macron théorise le conflit de générations La suite après cette publicité Juchés sur leur date de naissance et barricadés dans une vertu écologique imaginaire, de jeunes ingrats nous accusent de leur léguer une planète sale et des amas de dettes. En France, mieux vaut entendre ça que d’être sourd, mais c’est tout juste. La vérité, c’est qu’on laisse derrière nous un pays de cocagne où l’argent tombe du ciel. Les études sont gratuites, les soins médicaux aussi, les retraites garanties... Pour le dire vite, la France est une URSS qui aurait réussi. Mais qu’importe la réalité la formule revient à toutes les sauces. La génération Greta Thunberg l’exhibe comme les mémères sortent leur caniche toiletté. Franchement, elle abuse du privilège de n’avoir aucune expérience. Aucune reconnaissance non plus, d’ailleurs. On les a quand même débarrassés de la guerre et, en prime, du service militaire. Avant nous, l’Europe avait été non seulement le terrain mais encore la responsable de deux guerres mondiales. Depuis, on a transformé ce petit volcan hystérique en zone paisible, la plus riche et la plus démocratique de l’Histoire. Et, attention comme ça, par magie, en ne fichant rien ! La suite après cette publicité Qu’attendre d’une génération qui érige en héros universels Elon Musk, Mark Zuckerberg et autres super-méninges au service d’une société policière digne de Big Brother ?À lire notre histoire réécrite par la jeune génération, nous les boomers, on serait fatigués d’avoir trop fait la fête entre Ibiza, Carnaby Street et le Palace. En ces temps bénis, il paraît que les stages nous tombaient tout cuits dans le bec. Première nouvelle ! Et, quand on en décrochait un, il ne nous serait jamais venu à l’esprit de parler de nos vacances ou même de nos horaires. Je n’insiste pas mais, à cette époque, les patrons étaient encore plus ou moins des cannibales. Tout ne nous tombait pas tout cuit dans le bec. Pas même le bac auquel il ne suffi sait pas de s’inscrire pour le décrocher. Pour autant, chers jeunes gens, la poésie courait aussi dans nos veines. Et même, j’ose l’écrire, un rien de sensibilité. On n’a pas attendu Nicolas Hulot pour aimer votre chère planète. C’est un peu soûlant, ces mômes qui se croient attachés les premiers à la mer, à la terre et aux petits oiseaux dans les airs. N’est-ce pas oublier le maréchal Pétain ? Et le Vichy des Lumières ? OK, je plaisante. Mais enfin nous aussi étions préoccupés du sort des grenouilles. Songez à la garrigue, à Pagnol, à Giono ou à l’odeur du crottin de chèvre. Sans parler de la forêt de Bambi. On s’en délectait. Tous appartenaient au patrimoine qu’on léguerait à nos enfants. Et qu’on leur abandonne aujourd’hui avec inquiétude. Car, si on laisse une planète foutraque, on transmet aussi une démocratie endettée mais humaniste. Or, que nous préparent tous ces jeunes gens scotchés jour et nuit à leur portable et aux lubies d’une société dématérialisée et androïdique ? Mystère et tremblements. Qu’attendre d’une génération qui érige en héros universels Elon Musk, Mark Zuckerberg et autres super-méninges au service d’une société policière digne de Big Brother ? Vous payez par carte au péage de Saint-Arnoult et votre iPhone vous submerge de SMS sur la région Bretagne. Affolant. La suite après cette publicité La suite après cette publicité C’est bien joli de traiter la bouche pleine ses parents de boomers. Mais c’est dangereux. Il ne faut pas chercher des ennemis chez les gens qui vous aiment et vous protègent quand on tresse en même temps des couronnes à ceux qui vous passent les chaînes. Vous verrez les boomers, vous les regretterez. Et voilà . PS je termine avec tendresse par ce mot puisque vous l’employez à chaque phrase. Cest bon, bon. C’est bon, bon. C’est bon, bon. Si tu veux te faire plaisir. Faut surtout pas hésiter. Pour combler mes désirs. Y a rien de tel qu’un p’tit baiser. C’est bon pour le moral. C’est bon pour le moral.
Publié le 03/12/2011 à 1205, Mis à jour le 03/12/2011 à 1213 La joie des Marseillais après le but de Jordan Ayew à Caen Panoramic Cinq jours après avoir battu le PSG 3-0, l’OM a signé un deuxième succès de suite vendredi à Caen 1-2 grâce, encore une fois, à un cocktail d’engagement physique et de solidarité. Des ingrédients que les Marseillais espèrent transposer sur la scène européenne, mardi soir à Dortmund. Pour Didier Deschamps, c’était peut-être le match le plus difficile de la semaine à préparer. Plus que le clasico face au Paris SG, où la motivation est toute trouvée, plus que le déplacement de mardi prochain à Dortmund en Ligue des Champions, où l’enjeu doit conduire les Phocéens à se sublimer, le déplacement de vendredi soir à Caen ne s’annonçait pas facile. A l’extérieur, dans un stade plein, face à une équipe supposée inférieure, le match avait tout du piège pour des Marseillais que l’on annonçait relancés après leur victoire contre Paris. Les joueurs de Didier Deschamps ont su éviter cet écueil en ramenant trois points précieux de D’Ornano 1-2 au terme d’une partie pas toujours maîtrisée mais qui a confirmé l’idée d’une montée en puissance de l’équipe, sinon technique du moins physique et mentale. Symbole de l’état d’esprit retrouvé de cet OM, Souleymane Diawara, auteur d’une prestation encore très solide derrière et, surtout, d’une montée rageuse suivie d’une passe décisive pour Jordan Ayew sur le but de la équipe à l’image de son coach C'était important de confirmer par un succès, ici à Caen, ce que l'on avait pu produire contre Paris. Il y avait eu tellement de choses positives dans le dernier match que remettre les mêmes ingrédients ici n'était pas évident. On n'a pas eu un match simple malgré l'ouverture du score. On leur a donné ensuite l'opportunité de revenir. Mais la victoire est là . Avec 5 victoires dans les 6 derniers matches, le rythme bien meilleur», se réjouissait Didier Deschampsqui, en ancien aboyeur du milieu de terrain qu’il était, a surtout apprécié la volonté de se battre, de ne rien lâcher» de ses hommes. Car c’est cet aspect-là qui est le plus frappant depuis une semaine à Marseille. Après les deux défaites de rang, à Montpellier 1-0 et contre Olympiakos 0-1, les joueurs se sont parlés, étalant leurs griefs les uns envers les autres pour que les choses soient dites et pour faire avancer le collectif. Résultat depuis le couac grec, les Marseillais ont livré un vrai combat contre Paris dimanche dernier et à Caen vendredi fait des matches d'hommesMorgan AmalfitanoOn a peut-être pris conscience qu'on ne faisait pas tout ce qu'il fallait pour être en haut. Sur le match du PSG, on a démontré qu'on avait de meilleures qualités que celles développées jusque-là . Il fallait confirmer, on l'a fait», se réjouit le capitaine phocéen Steve Mandanda. On fait des matches d'hommes … Il y a eu un esprit collectif et beaucoup de volonté de notre part. Quand on met cet esprit de conquérant, nos individualités deviennent performantes», fait remarquer Morgan Amalfitano, encore très en vue en Normandie après son bon match contre Paris. Et dans ces conditions, les résultats s’en ressentent en Ligue 1, Marseille est sur une série de cinq victoires en six journées 15 points pris sur 18 possibles, ce qui lui permet d’espérer parvenir à réduire l’écart avec les équipes de têteavant la trêve 9 points de retard sur Montpellier, avec un match en plus.La vitamine de la victoire Vu d'où on vient et si on souhaite ne pas être distancé à la trêve, il va falloir enchaîner les victoires», clame Didier Deschamps, qui se garde bien d’affirmer que son équipe est enfin lancée. C’est déjà ce que l’on pensait après trois victoires de suite en Ligue 1 avant la trêve internationale Ajaccio, Dijon et Nice qui avaient été suivies de deux défaites contre Montpellier et l’Olympiakos. Didier Deschamps ne va donc pas tirer de plans sur la comète ce week-end mais le Basque souligne avec plaisir On a enchaîné deux victoires et il n’y a pas de meilleure vitamine.» Espérons pour le football français, malmené cette semaine en Ligue Europa, que la cure se poursuive jusqu’à mardi soir à Dortmund où l’OM jouera son avenir 16e journée de Ligue 1 en images
Publicité Bruxelles Matin. C'est bon pour le moral, c'est bon, bon!!! 16 nov. 2015 à 09:22 - mise à jour 16 nov. 2015 à 09:22 • 1 min. Par
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